Nouveau Dossier Mensuel sur quatregeek.fr, abordant ce mois ci, une des plus grosses licence du Survival Horror J’ai nommé
les Jeux Vidéos par Kant et Vep
Resident Evil est connu au japon sous le nom « Biohazard », et développé par la société CAPCOM.
C’est un survival horror, un bon mélange d’action, d’aventure et un peu de réflexion, un bon cocktail pour faire une bonne licence, la saga voit le jour en 1996 sur la Playstation, la série s’est écoulée à plus de 40 millions d’exemplaire, une saga de 24 jeux tout support confondu, console et PC ainsi que sur les smartphones.
On ne peux pas commencer à parler de Resident Evil sans évoquer certains personnages emblématiques de la saga (principalement le premier R.E).
Les S T A R S
Chris Redfield
Personnage principal (1er Resident Evil) et emblématique de la saga, Chris commença sa carrière dans l’Air Force, mais ses traits de personnalité lui ont permis de monter vite en grade, tout en étant la source de conflit avec ses supérieurs, à cause de ses conflit Chris quitta l’Air Force, pour être ensuite recruter par le S.T.A.R.S en tant que membre de l’équipe ALPHA.
Jill Valentine
Jill est un soldat sur qui on peux compter dans les situations de crise (comme dans le manoir), experte dans les armes à feux et le crochetage de serrure mais aussi dans le désamorçage d’explosif, membre de l’équipe ALPHA des S.T.A.R.S, elle est impliquée dans l’aventure du manoir.
Wesker Albert
Grand méchant du jeux à l’origine du virus, il est aussi un agent double d’Umbrella, infiltré chez les S.T.A.R.S pour les espionner, et il va même les diriger, c’est lui qui va les faire aller dans le manoir.
D’un grand sang froid et surtout sans état d’âme, il est prêt à trahir ou tuer sans scrupule si cela peux lui servir.
Dans Resident Evil il y a heureusement des monstres aussi, mais comme pour les personnages la liste est longue donc il faut faire un choix et j’espère que cela sera le bon.
Les Hunters:
Ils sont le mélange d’un croisement génétique entre un humain et un serpent, de petit taille (environ 1.20m) avec de larges griffes, le hunter possède une endurance, une force et une rapidité hors du commun.
Les Lickers:
Un humain atteint du virus T ce transforme en licker. Le résultat est assez étonnant, cela donne un être écorché sur tout le corps avec des pattes munies de longs griffes; Il n’a plus rien d’humain, le nez et les yeux ont disparus et le cerveau sort entièrement, c’est d’ailleurs son point faible. Même s’il est aveugle, il n’en est pas moins dangereux, se repérant aux sons, il est très rapide et peux monter aux murs.
Les Zombies:
Les zombies sont des humains contaminés par le virus T.
Les Tyrans:
C’est en général le boss de fin du jeu, qui en fonction de l’épisode change de formes.
Parlons un peu plus en details des jeux vidéo de la licence R.E.
Comment ne pas parler de Resident Evil sans parler du Resident Evil de 1996 sur PSone, moins beau graphiquement que la version HD remasterisé de la PS4, mais toujours aussi effrayant, avec la peur à chaque fois qu’on passe une porte, peux être un Hunter derrière qui sait?.
C’est un des premier du genre, il a placé les codes du survival horror et à mis la barre haute pour ses successeurs.
Le jeu dispose de trois modes de difficulté, le mode facile et normal avec le personnage de Jill Valentine ou Chris Redfield pour un jeu en mode difficile.
Le jeu joue énormément sur les plans fixes, une de ses caractéristiques majeures, qui donnent une dimension horrifique et cinématographique aux scènes du jeu, les concepteurs de Resident Evil ayant beaucoup misé sur cet aspect (source Wikipedia).
Élément important du jeu, le joueur ne peux pas sortir son arme rapidement, il faut déjà qu’il lève le bras et tire, et qu’il vise bien avec de la chance, surtout il ne faut pas bouger pendant la phase de tir, sinon cela corse un peu plus la difficulté du jeu.
Le jeu est composé de plein d’énigme et de petits casses tête, pour ouvrir une porte ou récupérer des objet bien précieuse comme une plante verte ou des munitions, a les munitions un artéfact bien sympa avoir dans ce genre de lieu, surtout qu ils sont donne au compte goutte
Donc cela ce passe dans un manoir bien étrange avec des habitant un peu mort, si ont peux dire, vue le nombre de mort dans l équipe des S.T.A.R.S, les habitant du manoir sans bien difficiles a tue, surtout que les S.T.A.R.S et l’élite de la police Raccoon City.
Mais si il avais que ce type de monstre, mais il y a plein de jolie monstre dans le manoir, voila des exemples tout le monde ce rappel des hunter mi humain mi serpent ou les tyran, qui était le boss de fin jeu et que si tu avais pas le bazooka c était même pas la peine
L’objectif principal qui visait à élucider les mystérieuses disparitions va très vite tourner en une mission de survie : trouver des armes, résoudre les énigmes qui barrent le passage du joueur, sauver ceux qui pourront l’être et découvrir les secrets du manoir. Ce dernier est infesté de créatures toutes plus dangereuses les unes que les autres : êtres en état de décomposition avancée, créatures étrangement gigantesques ou monstres mutants qui n’hésiteront pas à tuer le joueur s’il les laisse s’approcher de trop près (source wikipedia )
La chronologie Resident Evil par Vep
Resident evil en plus d’être le premier survival-horror c’est plus de 21 titres portant le logo de la « marque Resident ».
Remasterisé, hd-iser ^^ penchons nous sur les licences originales et laissons de coté les portages multi-console.
Le 22 mars 1996 naît Resident Evil premier du nom, un virus, un manoir, une équipe de commando et c’est partie pour un chef d’œuvre vidéo-ludique.
Le 21 janvier 1998 après le succès du premier, le 2 fait son arrivée reprenant sans honte la même mécanique du premier :virus, zombie etc .Cette suite nous présenteras des petits nouveaux Leon Kennedy ,Claire Redfield, Anna Wong et Hunk pour les plus importants et nous sortiras aussi du manoir pour nous présenter la ville de Racoon city .
Le 22 septembre 1999 sur ps one le 3eme volet débarque plus beau plus tout ^^ il arrache les tripes de la ps one.
Chronologiquement parlant il se déroule 2 heures avant le second volet c’est pour cela que l’on se retrouve une nouvelle fois pris au piège de la ville de Racoon city .
Il remet en scène Jill Valentine avec de nouveaux compagnons et surtout avec un nouveau méchant le Nemesis!
Le 26 mai 2000 pour sa dernière apparition sur ps one c’est sous une autre forme de jeu que Resident Evil apparaît.
En effet Resident Evil Survivor est un jeu de tire qui utilise le pistolet très à la mode à cette époque ( aahhhhhhhhhhh Time Crisis ). Dans ce rail shooter le scénario est des plus simple « tout shooter ». Ark Thompson (vous) se voit confier par son ami Leon Kennedy, une mission d’enquête sur une île appartenant à l entreprise Umbrella …
Le 3 février 2000 c’est avec une exclu sur Dreamcast que la licence Resident frappe un grand coup .
Code veronica premier volet sur la « next gen » de l’époque 128 bit qui permet à la licence de se refaire une jeunesse: décors pré calculés, graphismes plus fins, cinématiques sans chargement etc..
3 mois après avoir échappé à la mort dans Raccoon City , la pauvre Claire se fait capturer et jetée en prison sur une île mystérieuse alors qu’elle enquêtait sur la disparition de son frère.
Of course Virus T oblige créature et zombie sont de retour.
En 2001 non content d’avoir écorché l’image de la licence avec le premier gun-survivor, Capcom remet ça avec Resident Evil Survivor 2 Code Veronica. Même scénario que le « vrai » code Veronica, mais il ne connaîtra pas le même succès que celui-ci..
Le 14 décembre 2001, c’est sur portable que l’horreur s’installe ! Nous autorisant par la même à frissonner où on le souhaite. L’aventure prend place sur un bateau de croisière le « Starlight » où il se pourrait bien qu’une arme biologique développée par Umbrella soit caché. Léon Kennedy ayant disparu sur le bateau c’est Barry Burton qui prend le relais pour le sauver et par la même occasion détruire cette arme.
Le 12 novembre 2002, nous atteignons les cieux avec l’arrivée sur Game Cube de Resident Evil Zero. Une bien belle façon de finir l’année et une autre façon tout aussi belle de relancer la licence. Se déroulant avant les terribles événements de Raccoon City, cet opus nous présente l’équipe BRAVO, dont fait partie Rebecca Chambers. Si le jeu nous présente le départ en mission de l’équipe BRAVO pour le manoir de Raccoon City, c’est dans un train que la plupart de l’action du jeu aura lieu… au prise avec Billy Coen, Rebecca devra utiliser ses méninges en plus de son fusil pour sortir de là, car en effet le mode coop fait son apparition et ça change tout .
Le 12 février 2003 Capcom remet ça! Resident Evil Dead Aim (c’est le R.E Survivor 4 ) un nouveau Rail shooter jouable avec le dernier pistolet de la gamme,le guncon. Dans la peau de Bruce ou de Fangling 2 agents américains, vous allez devoir déjouer les machinations de la société Umbrella.
Le 11 décembre 2003 débarque Resident Evil Oubreak. Capcom se lance dans le mode coopération online ! avec cet opus c’est le mode coop qui est mis en avant .En effet aux États-Unis et au Japon, un mode online était disponible permettant au joueur de faire équipe pour affronter les zombies, et l’entraide était de rigueur.
Le 9 septembre 2004, c’est la suite de Resident Evil Oubreak qui sort alors que les fans hurlent pour obtenir un « vrai » Resident….Bref rien de nouveau si ce n’est le mode online pour l’Europe ^^.
Le 11 janvier 2005, la Game Cube s’offre une nouvelle exclusivité avec le tant attendu Resident Evil 4. Cette fois pas de zombie, mais des villageois possédés par un parasite qui les forcent à obéir au chef d’une secte. C’est Léon Kennedy que nous retrouvons cette fois encore et en Europe qui plus est. Car c’est en Espagne que cette bande de fou « los illuminados« sévit. A la recherche de la fille du président des Etats-Unis (rien que ça..) Léon aura fort à faire pour leur faire comprendre qu’il ne mange pas de paëlla.
Le 13 novembre 2007 Resident Evil se rappelle à notre bon souvenir grâce à ce pot pourri sur Wii. Savant mélange de tous les premiers épisodes sorti auparavant ce Resident Evil: The Umbrella Chronicle se concentre sur l’histoire de la société Umbrella.
Le 5 mars 2009, c’est le retour de la licence avec l’énorme Resident Evil 5. Cette fois c’est Chris Redfield aidé par Sheva Alomar qui s’occupe de la promo. Très attendu depuis le 4 ce Resident ne déçoit pas, reprenant le principe des villageois possédés (donc plus vif et intelligent que des zombies lambda), il nous transporte en Afrique où une nouvelle fois Umbrella frappe avec un nouveau virus…
Le 17 novembre 2009, Resident Evil : The dark side chronicle pointe le bout de son nez sorte de rail shooter inspiré par le R E 2 et le code Veronica.
Le 2 juin 2011 Capcom profite de la 3DS pour sortir Resident Evil the Mercenarie 3D. Basé sur le mode mercenarie des précédents Resident Evil, c est une succession de plateau où l’objectif et de nettoyer la carte ou d’atteindre la sortie sans mourir….Choisissez un des héros emblématique de la saga et nettoyer du zombis.
Le 26 janvier 2012, Resident Evil Revelation débarque sur 3DS. Et là c’est le choc un retour aux basiques …que du bon une atmosphère qui n’est pas sans rappeler les premiers opus de la série. Ce R.E Revelation est Une révélation ou plutôt une renaissance. On incarnera tour à tour Jill puis Chris et quelques nouveaux. La narration est excellente le rythme soutenu et l’ambiance bien sombre.
Le 20 mars 2012 ,c’est sur ps3 que le premier Resident Evil format FPS fait son apparition. Resident Evil Operation Raccoon City,vous met dans la peu d’un soldat d’une unité spécial travaillant pour Umbrella (u.s.s) ou dans les forces spéciales Américaines contre Umbrella.
Resident Evil 6 sort sur ps3 le 2 octobre 2012, innovant sur un système de plusieurs scénarios, ce sont 3 duos qui progressent dans 3 histoires principale à vous de choisir par lequel vous désirez commencer tout en sachant qu’ils finiront par se rejoindre. Le mode mercenaire est toujours présent et une option online permet à quelqu’un de rejoindre votre parti pour vous aider.
La Saga cinématographique par Hiru
Qui dit grosse licence vidéo-ludique, dit forcement une adaptation cinématographique, histoire de faire plus de billets verts. Enfin seulement si celle ci est bien réalisée et plait au fans du jeu.
Attardons nous donc sur les adaptations du célèbre survival-horror.
Le premier film sorti en 2002, réalisé par Paul W.S Anderson (Mortal Kombat, Alien vs Predator, Dead or Alive) reprend les éléments clés du jeu vidéo à savoir des membres des S.T.A.R.S (Special Tactics And Rescue Service), un manoir avec un sous sol impressionnant), la société Umbrella et leurs célèbres Virus, tout pour faire un bon film me direz vous.
Si Paul Anderson est un bon réalisateur et un geek dans l’âme, ses plans séquence sur Resident Evil n’arrive pas à en faire un bon film du genre, là ou dans le jeu vidéo, la caméra était placé dos au personnage dans des plans fixes, de telles manière à réduire considérablement le champ de vision du joueur et ainsi décuplait un sentiment de peur et d’angoisse. Donc OUI, Resident Evil est un bon film d’1h30 tiré de jeu vidéo, des acteurs pas trop mauvais (Milla Jovovich, Michelle Rodriguez, Eric Mabius ou encore Martin Crewes) et avec un scénario tenant la route
Synopsis:
Un virus est volontairement libéré dans un laboratoire pharmaceutique de la compagnie « UMBRELLA », des kilomètre de suite à ça, dans un somptueux manoir, Alice se réveille dans sa salle de bains sans aucun souvenir, elle fait la rencontre de Matt, un policier de la ville mais très vite, tous deux se font capturer par une unité d’élite, les S.T.A.R.S. Ils ont pour objectif de rechercher la cause de la mise en quarantaine qui à tourné au cauchemar pour les scientifiques.
RESIDENT EVIL 2 a.k.a Apocalypse
Resident Evil Apocalypse sort en 2004, tout auréolé du succès du premier long métrage.
Pour réalisé celui ci, le réalisateur (Alexander Witt) s’inspire particulièrement de R.E 3 mais pioche également certains référence à R.E 2 et R.E Code Veronica
A la fin du premier film, nous avions laissé Alice emmenée dans un hôpital, après que Matt soit enlevé sous ses yeux par des hommes d’Umbrella Corporation. A son réveil, Alice s’échappait de l’hôpital pour se retrouver dans Raccoon City, ville dévasté par le virus T et clôturée à la Banlieue 13 par Umbrella, pour éviter la propagation de leur zone de test.
Le synopsis du film est simple à deviner, Alice cherchera à savoir ce qu’il se passe vraiment, sur le chemin, elle rencontrera des membres d’une unité S.T.A.R.S (coincé en ville eux aussi). Le but commun sera de sortir de la ville et d’éviter au passage la contamination, histoire de pas finir en zombie à la Walking Dead.
Heureusement leurs saluts, passera par un membre important d’Umbrella ayant perdu sa fille durant le Lock Out, du coup ça devient du donnant-donnant, la petite contre une issue de secours de la ville.
En comparaison avec le Jeu, on peux citer pour ce second film quelques points interressants.
- La présence de Jill Valentine, qui à la même apparence physique mais elle fume.
- La présence du Némesis: introduit ici grâce à la contamination de Matt (fin du 1er film).
- Des dobermans fidèlement reproduits.
- Une quarantaine est également mise en place, une tête nucléaire est également lancé pour éradiquer Raccoon City de pièce à conviction.
- Le nom d’Ashford (un des fondateurs d’Umbrella) est utilisé.
RESIDENT EVIL 3 a.k.a Extinction
Dans ce troisième film, les références aux jeux se font de plus en plus rare, Ils en restent un peu de R.E Code Veronica. Sorti en 2007, le film s’éloigne des standard du genre pour ressembler à un mix Horreur/Western avec une touche à la Mad Max.
Du coup, exit Raccoon City et autres villes classique, direction le désert du Nevada pour aller à Las Vegas en convoi pour Alice, Claire Redfield, Carlos Olivera, L.J, K-Mart et tout un convoi d’innocent qui ne finiront pas le film.
La Terre entière étant envahi par le Virus T, Alice cherche des survivants un peu partout sur le globe et notamment un certain « Chris Redfield », Alice cherchera également à se rendre à « Arcadia » une ville en Alaska que le Virus n’aurait pas contaminé.
Le film restera dans les esprits, comme celui ayant été le début de l’histoire des clones d’Alice, un peu à la Ripley dans Alien, quand ce sont des clones, les héros des films.
RESIDENT EVIL 4 a.k.a AfterLife
Back in Business pour Paul W.S Anderson qui reprend les rênes de la franchise cinématographique, sorti en 2010 il est le premier R.E qui mise sur la technologie 3D (le buzz de l’époque) avec une campagne publicitaire basée exclusivement dessus (Alice qui traverse la vitre d’un immeuble en tirant).
Dans l’histoire, 5 ans sont passés depuis la pandémie planétaire du Virus T, Alice arrive à Tokyo avec son armée de clones pour faire la peau à Wesker, mais rusé comme il est, il arrive à s’en sortir en injectant à Alice, une toxine détruisant tous ses super pouvoirs.
On retrouve donc notre héroïne (enfin son clone) en route pour Arcadia afin de retrouver Claire et K-Mart, avarie d’avion sur le chemin, elle retrouvera quand même Claire, mais une Claire amnésique, les 2 femmes se rendent à Los Angeles et découvrent un immeuble abritant des survivants, et par le plus grand des hasards, Chris Redfield.
On apprendra durant le film, qu’Arcadia est en fait un immense Cargo mouillant dans l’océan pas loin des rivages, Claire, Chris et Alice arriveront après moult aventures à monter à bord, mais découvriront qu’il est en surface désert mais que les cales abritent des centaines de survivants intubé avec des appareils effaçant la mémoire (d’où l’amnésie de Claire). Toute la bande tombera encore une fois sur Wesker et un combat final s’engage entre Alice et Wesker.
Comme Cliffhanger, Paul W. Anderson nous offre comme scène post générique, une Jill Valentine de retour à la tête d’un escadron d’hélicoptères Umbrella, prête à décimer le cargo. Jill dont on le rappel, on était sans nouvelles de sa part depuis R.E Apocalypse.
RESIDENT EVIL 5 a.k.a Retribution
Sorti 2 ans plus tard, Resident Evil Retribution nous avait laissé sur un cliffhanger de fou, Jill Valentine passé à l’ennemie attaquant l’Arcadia et ne laissant aucune survivant apparement.
Quelques mois plus tard, Alice se réveille (elle passe son temps endormi dans cette licence) dans une banlieue bourge de Raccoon City, avec le pack complet, pavillon, famille, et vie de merde ^^. Rêve ou Réalité ? après 5minutes de film, on comprend que c’est un rêve lorsqu’Alice se réveille (encore!!!) dans une cellule d’Umbrella. Par la suite elle tentera de fuir, mais croisera sur sa route Ada Wong (référence du jeu vidéo) ainsi que divers clones de ses anciens compagnons d’armes des différents films, comme Rain (Michelle Rodriguez) et One (Colin Salmon) du premier R.E ou Carlos Oliveira, apparu dans plusieurs films. Bien entendu Jill Valentine sera de la partie, contrôlée mentalement par Umbrella.
Alice découvrira durant le film, que les événements qu’elle a vécus dans la banlieue de Raccoon City n’étaient pas un rêve. Ce qui lui fera rencontrer sa fille Becky, ou plutôt la fille de la « Alice » originel de Raccoon City, qui sera elle aussi un clone, mais Alice l’emmènera et tentera tout de même de la sauver.
Le film est beaucoup basé sur le fait de faire la différence entre la réalité et la fiction, les amis et les ennemis, tout comme Ada Wong qui est agent double, serez vous discerner le vrai du faux dans le film ?.
RESIDENT EVIL 6 a.k.a Le Chapitre Final
6e et dernier film de la licence, il sortira en 2016 suite à son report causé par la grossesse de Milla Jovovich.
Le synopsis sera simple: Alice, Jill, Claire, Leon et Chris doivent pénétrer la ruche pour arrêter la Reine Rouge, avant qu’elle extermine l’espèce humaine.
Un bon point pour ce last movie, la présence des personnages les plus emblématiques des Jeux Vidéos, en plus de ceux cité dans le synopsis, notons la présence au générique des personnages d’Ada Wong et d’Albert Wesker.
De quoi finir en beauté normalement. Reste à attendre et voir ce que Paul W Anderson nous à concocter pour clore cette licence. Wait and See
Resident Evil via la Littérature par Hiru
Il existe plusieurs romans sur l’univers Resident Evil, édité entre 2002 et 2005 par les éditions Fleuve Noir, depuis 2014 ce sont les éditions Milady qui les réédite. Tous écrit Stephani Danelle Perry
- La Conspiration d’Umbrella édité en 2002
- La Crique de Caliban édité en 2002
- La Cité des morts édité en 2002
- Aux portes de l’enfer édité en 2003
- Nemesis edité en 2003
- Code Veronica edité en 2003
- Zero Hour édité en 2004
Il existe aussi des 3 « novelisations » (Romans dont l’histoire est tiré directement du film) chez Fleuve Noir, écrit par Keith RA. Decandido
- Genesis, édité en 2005
- Apocalypse, édité en 2005
- Extinction, édité en 2007
Le manga Resident Evil par Vep
Bien évidement un jeu vidéo de surcroît Japonais se doit d’avoir son manga ^^.
Et c’est chose faite par le biais de CAPCOM qui a scénarisé le manga pour être sur que celui ci reste cohérent avec l’univers Resident Evil. Cette série compte 5 mangas qui sont d’ailleurs parus en France au édition kurosawa, sous le nom de Resident Evil marhawa desire.Le manga est un épisode s’insérant dans la chronologie officielle de la série (entre le 5 et 6 précisément). Dès le premier tome nous sommes dans le vif du sujet, à peine découvert les deux personnages principaux, que les zombies ont déjà commencé à envahir un campus qui est en charge de former l’élite de la nation. Pour les aider ils doivent comprendre d’où provient cette épidémie et comment a-t-elle démarré, toute fois ne se sentant pas capable de résoudre cette enquête ils feront appel à Chris Redfield. On a donc le droit à quelques pages d’exploits de cette équipe qui lutte contre le bioterrorisme et ses affreuses créatures bien connus des joueurs.
La Gastronomie du Zombie par Hiru
Le Capcom Bar
Ce qu’il y a de formidable au Japon, c’est que l’univers et les passions Geek y est présent sous toute ses formes sans aucune honte ou aucun tabou vis à vis de la société, c’est donc tout naturellement que l’on pourra y retrouver des restaurants Capcom et plus précisément Resident Evil. du coup pendant mon voyage à Tokyo en 2012, j’ai voulu try le Capcom Bar, lieu incontournable destiné au fan de Resident Evil, Monster Hunter, Devil May Cry, MegaMan et autres Street Fighter, en gros que des bons jeux.
C’est donc la vieille de mon départ que j’ai voulu tester ce lieu magique, malheureusement pour moi, arrivé sur place, on m’a appris qu’il fallait réserver puisque c’était par session de 2H (pour les animations) et non pas en libre accès comme un bar traditionnel. La prochaine session étant dans 1H mais complète, c’est donc tout triste que je suis reparti.
En tout cas, j’ai pu vous trouver sur le web des photos de cet endroit magique ou sont servi à boire et à grignoter sur le thème de vos jeux vidéo préférés. Le bar n’a pas l’air très grand, puisqu’il peut contenir 30 personnes. Toutefois il faut veiller à respecter les règles d’or sous peine de se faire sortir de la session.
Les règles à suivre
- On peut prendre des photos partout dans le bar mais il est interdit de filmer.
- Le Capcom bar est un lieu d’amusement. Les jeux vidéo mis à disposition sont totalement gratuits.
- Il est interdit de fumer dans le bar. Un espace fumeur est situé juste à l’extérieur du bar.
- Nourriture et boisson : on commande lorsqu’on veut en sachant que les dernières commandes doivent être passées trente minutes avant chaque fin de session.
- Goodies : les commandes doivent être passées une heure avant chaque fin de session.
- On règle l’addition directement à sa table en espèces uniquement.
La fin des règles expliquées, place à l’apéro
Le Biohazard Café & Grill S.T.A.R.S
Restaurant éphémère d’un an, situé au 7ème étage de l’immeuble PARCO, ce lieu ravira tous les fans du jeu car la déco est inspiré directement des différents épisodes de la saga. J’ai eu la chance que cela soit ouvert durant mon séjour et j’y ai passé un bon moment, même si j’aurai préféré surement le CAPCOM BAR (plus de jeux Capcom représenter). Pour resituer, le Biohazard Café & Grill vous plonge dans le quotidien des S.T.A.R.S puisque c’est leur cantine officielle et seul les membres des équipes ALPHA et BRAVO ont le droit de venir s’y restaurer entre leurs missions casse-cou style « le Manoir ».
C’est donc avec des couverts et assiettes de type militaire que vous recevrez votre ration de survie commander à la serveuse en tenue S.T.A.R.S. C’est donc à l’aide d’éprouvette que vous assaisonnerez votre salade et d’un couteau de combat pour découpé votre viande.
En termes d’animation, nous avons eu le droit au réveil du Tyran qui essai de sortir de la vitrine (à l’aide d’hologramme). Les serveuses choisissent des clients téméraires pour les aider à repousser le monstre à l’aide des armes placardés au mur, le tout rappel TIME CRISIS en borne d’arcade.
C’est tout pour ce mois ci, nous esperons que ce Dossier Mensuel vous donnera l’envie de vous replonger dans cette licence juste magnifique. On vous dis au mois prochain pour un Dossier Mensuel sur Game of Thrones « la série »
